Depuis deux jours je passais le plus clair de mon temps à la plage, au bout de laquelle environ deux cent mètres étaient réservés aux naturistes…

L’endroit était sage, presque familial ; il y avait bien quelques beaux mecs, mais tous s’affichaient avec leur femmes ou copine, je n’avais pas repéré de mec seul susceptible de se laisser aller à quelques égarements physiques.

A la villa il y avait une piscine, mais seul dans cette grande maison je m’ennuyais et je préférai aller faire bronzette à poils à la plage, là je pouvais mater les femmes comme les hommes, en fait je suis attiré par les beaux corps quelque soit le sexe associé !!

Vers la fin d’après midi le public changeait un peu sur la plage, les familles repartaient tranquillement tandis que quelques hommes ou jeunes hommes seuls arrivaient et venaient se baigner chaque soir, pour se détendre après leur journée de travail.

Quelques uns étaient bien bâtis, bien foutus et avaient de jolies queues. Bref je matais tout à mon aise, allonger sur ma serviette quand je vis ce beau black arriver….bermuda beige, chemisette ouverte sur un torse musclé, devait faire 1,90m, cheveux noirs rasés court, tête anguleuse carrée,(genre Carl Lewis), souriant et hyper bandant. Je sentais déjà ma queue se réveiller.

Ce mec vînt s’installer à quelques mètres devant moi ; il déposait sa serviette de bain, fit tomber le bermuda direct dans à ses pieds, pas de sous vêtement, je découvris immédiatement une queue fidèle à la réputation des hommes de couleur : devait faire la vingtaine de centimètres, assez épaisse, le gland légèrement rosé décalotté venait apporter une touche colorée amusante et tellement sexy. Les poils noirs courts crépus et une paire de couilles bien descendues et surement bien remplies.

Je bandais comme un fou rien qu’en matant ce gars, sculpté, musclé, qui en se dirigeant vers la mer m’offrait à voir une paire de fesses rondes, rebondies….divines !! je regardais s’éloigner dans l’eau un fantasme vivant… !

Pour dégonfler ma joie je me dirigeais aussi vers l’eau pour m’y baigner…… Curieusement je ne voyais pas ce bel homme dans l’eau, je nageai plusieurs centaines de mètres puis revins sur la plage…me dirigeais vers la douche tout en matant autour de moi instinctivement…il n’y avait presque plus de femmes sur cette plage, l’heure avançait il restait quelques hommes de-ci de-là, allongés alanguis, presque endormis, laissant leur corps aux chauds rayons du soleil.

Allongé à plat ventre je regardai vers l’eau, il sortait de la mer et venait droit sur moi, hyper bandant, en le voyant je me redressais et m’asseyais pour lui faire face. Il approchait jusque sa serviette où il s’assit lui aussi de trois quart par rapport à moi. Assis jambes allongées bras tendus derrière lui, offert au soleil. Il ne tarda pas à porter la main à son paquet et à toucher sa longue et jolie queue, la plaçant tantôt à droite tantôt à gauche… jetant un œil par-dessus son épaule en ma direction de temps en temps. La plage devenait déserte restaient quelques hommes à bonne distance de nous. Le Black commençait gentiment à se branler discretos , me lançant au passage des regards furtifs…

Il me faisait bander ce salaud, et j’avais une gaule plus qu’évidente, alors je commençais moi aussi naturellement à me branler. Ayant vu mes mouvements, il se tourna légèrement afin que nous puissions nous voir sans avoir à tourner la tête. Il se caressait, soulevait ses couilles, les soupesait, malaxait sa queue épaisse qui avait pris des proportions majeures, son gland rosé tranchait avec sa couleur de peau chocolat où perlaient des gouttes d’eau sous le soleil presque couchant. Il me regardait en souriant. Je me caressais aussi, ma queue était raide je kiffais grave cette situation, je bougeais aussi mes jambes afin de lui donner une meilleure vue sur moi tout en lui esquissant un sourire…Il me fit signe de m’approcher. Je jetais un regard alentour, tout le monde semblait se foutre éperdument de notre petit manège…je pris ma serviette d’une main, me levais et m’approchais de ce bel et chaud éphèbe. Assis à ses côtés, je regardais autour de nous, c’était l’indifférence générale.

Il approchait son visage du mien, souriant et me roulait une pelle directe, j’étais tellement excité par sa langue qui me fouillait que j’empoignais sa queue et commençais à le branler longuement, en tirant bien sur toute sa longueur, faisant apparaitre ce magnifique gland rosé et gonflé. Il prit ma bite en main et se mit à me caresser. Pas un seul mot n’avait été prononcé, seuls quelques gémissements discrets sortaient de nos bouches. J’avais trop envie de cette queue, je me penchais pour la prendre en bouche, il devait donc, vu notre position, arrêter ses caresses sur ma tige. J’enfournais sa queue dans ma bouche, sa « demi-queue » devrais-je dire car la prendre sur toute la longueur était encore impossible dans cette position. Je serrais sa tige de ma main, prenais ses couilles de l’autre pour les malaxer tandis que ma langue s’enroulait autour de son gland gonflé et tendu. Il gémissait, se tortillait et écartait son torse vers l’arrière afin de me laisser toute la place pour agir. Presque plus personne autour de nous, et de toute façon j’étais trop excité pour m’interroger sur la présence éventuelle de quelqu’un…je suçais ce membre noir tendu, j’aspirais goulument ce chibre et me délectais, j’étais à quatre pattes, le cul ouvert au vent et tout occupé à déglutir ma salive, à lécher cette bite maintenant énorme qui allait et venait dans ma gorge au rythme des ondulations de son bassin !

Il souriait, laissant apparaitre ses dents qui contrastaient avec sa peau noire mate, je m’arrêtais de le sucer pour reprendre mon souffle, passant ma main sur son torse, titillant ses tétons, ma main derrière sa nuque rapprochait son visage de mon corps, il comprit aussitôt et se laissa entraîner vers ma queue raide et tuméfiée d’envie….ses lèvres épaisses vinrent se poser sur mon gland, il n’ouvrait pas la bouche, il passait ses lèvres fermées et chaudes sur le pourtour de mon gland, saisissant ma teub d’une main il la faisait battre sur sa joue puis ouvrit sa bouche et me lécha la queue, des couilles jusqu’au prépuce, jouant avec mon frein qu’il titillait du bout de sa langue. Il goba ma tige direct profondément, engloutissant d’un seul coup ma bite pourtant d’une bonne mesure, il allait et venait rapidement en serrant ma queue à la base. J’étais tellement excité que j’allais presque déjà lui balancer tout mon foutre chaud, je me retirait pour reprendre mes esprits, je relevais sa tête et lui roulais un patin de la plus belle espèce (lol)…

L’affaire n’avait pris que quelques minutes et déjà nous étions dans un état d’excitation intense, l’envie terrible de le prendre et d’être pénétré me traversait le corps et l’esprit en un frisson étrange.

Je le poussais contre le sable et m’agenouillais sur lui, autour de nous plus personne, au loin deux mecs se frottaient aussi l’un à l’autre….mes genoux venaient se poser de part et d’autre de sa tête pour offrir à sa langue -et à bonne hauteur- mes couilles et mon cul presque ouvert. Des ses mains libres il écartait mes fesses et vînt glisser sa langue sur mon trou, il léchait ma rondelle d’une langue large puis l’instant suivant venait la pointer dans mon trou qui petit à petit s’ouvrait sous les lampées chaudes et humides de sa langue rosée. Je me cambrais pour lui donner toute latitude pour agir à son aise. De ma main droite, le bras tendu vers l’arrière je saisissais son pieux noir pour le branler un peu et le préparer à me transpercer, en reculant j’approchais mon cul de sa bite toute raidie d’envie…je portais ma main gauche à la bouche crachant une bonne dose de salive que je venais déposer sur son gland et sur mon trou que j’explorais d’un doigt, puis il se présenta sur mon anus , pressant son gland sur ma rondelle mouillée et gourmande de le recevoir tout entier ; sentant bien son membre je m’assaillais sur lui . Bien que mouillé, mon trou rechignait à laissait passer cette queue hors norme, son gland faisait le forcing à mon entrée, je l’aidais à y pénétrer lentement lâchant des gémissements mêlées d’une envie féroce de me faire défoncer et de la douleur du passage du monstre…

A peine était-il en moi, qu’il n’attendit pas pour aller et venir au plus profond, ressortant sa queue au maximum, mais en douceur, sans à-coup , à chaque fois plus profond ; je l’aidais de tout mon poids à venir loin en moi, mes cuisses tremblaient dans un équilibre inconfortable, je décidais de m’appuyer sur ses épaules et de me cambrer pour offrir un angle plus «  pénétrant»….et de donner le rythme plus lent à ses ébats ; je resserrais au maximum mon anus pour enfermer cette bite qui me bourrait, tandis qu’il agitait ses reins, ses hanches pour me percer plus avant. Ayant -trouvé-lui comme- moi une position relativement confortable, nous avons baisé ainsi de longues minutes. Il me défonçait le fion de sa bite énorme et je sentais s’écarter mon anus à chaque passage de son chibre black.

Je jouissais de la situation, je me mis à me branler la tige devant son visage tout en remuant mon cul sous ses coups de bite… il souriait, passait sa langue sur ses lèvres dans un mouvement langoureux puis il pointait sa langue vers moi, m’invitant à me pencher vers lui.

Mon cul offert à ses coups de reins, ma queue à la main, je me penchais pour aller chercher sa langue et fouiller sa bouche chaude, je mordillais ses lèvres. J’allais jouir, je me relevais pour qu’il profite des longues giclées de sperme chaud sur son torse ; je jouissait fortement avec sa queue dans mon cul, en criant mon plaisir sous ses coups plus rapides, me penchant à nouveau pour lui rouler une pelle, il en profita pour sortir sa queue de mon trou, je la saisis aussitôt pour la branler et faire jaillir son foutre blanc qui vînt se mêler au mien en de beaux et longs spasmes.

Fatigué, je me laisser retomber à ses côtés sur la serviette, le soleil chauffait encore nos peaux, nos respirations reprenaient un souffle plus régulier….je proposai un bain pour nous rafraîchir, mais dans une eau douce, pas salée….. « il y a une piscine dans la villa où je suis… » ça te dit ?

Il se redresse, me regarde et me répond : «  ok, c’est cool »……….

ARSENE

j espère avoir un minimum de commentaire sur ce texte très bandant.... si vous n êtes pas capabe de lire, je pense que les prochaines évolutions de mon blog ne seront pas pour vous.