Le blog de chaudmaubeuge
Empoignant nos serviettes, on essuyait rapidement le sable collé à notre peau, et lui le foutre collant sur son torse, on se rhabillait, la plage était maintenant vide, le soleil se couchait derrière les collines, laissant une lumière rose dans le ciel … Nous avons repris le chemin de sable qui longeait la plage jusqu’à la route du bord de mer tout en discutant ; c’est amusant comme il devient très facile de taper la « discut » et faire connaissance après avoir baisé avec un inconnu »…
Ce beau jeune homme black s’appelait Philippe, il était antillais, venait de se faire plaquer par sa meuf et avait décidé de venir finir ses vacances seul sur la côte d’azur…
La villa n’était pas loin du bord de mer, à peine un kilomètre, la route serpentait à travers la roche rouge de l’Esterel, on y croisait quelque couple qui se baladaient. Le portail s’ouvrait sur un chemin de fin gravier et menait sur la terrasse, un escalier de pierres montait jusqu’à l’entrée de la villa et desservait sur le côté un accès à la piscine. La piscine était entourée d’arbres qui protégeaient de la vue du voisinage. Un jacusi arrondi se déversait dans la piscine qui elle-même débordait, laissant une vue imprenable sur la mer en contre- bas ; les bruits de la route et du bord de mer montaient, sourds, jusqu’à nos oreilles. Je proposais à Philippe de se doucher pendant que j’allais chercher deux verres.
Il se désapa en deux secondes et son corps ondulait déjà sous la douche extérieure prés de la terrasse…à mon retour deux verres à la main et une bouteille dans l’autre, je le trouvais assis dans le jacusi, il se trémoussait sous la pression des jets d’eau avec un sourire désarmant accroché à son visage… je m’étais déshabillé aussi et j’entrais à ses côtés dans l’eau, je servais nos verres, on trinquait… on buvait.
Il se leva pour admirer la vue imprenable sur la méditerranée, m’offrant une vue imprenable sur son fessier, ses cuisses puissantes, son dos fin et racé qui s’élargissait sur ses épaules musclées…je me levais aussi derrière lui, mes mains caressaient ses épaules, glissaient le long du dos de part et d’autre de ses hanches ; il se penchait légèrement permettant à ma main de se glisser entre ses fesses, je frottais mes doigts dans sa raie humide, il écartait une jambe en la posant sur le rebord du spa, me laissant tout loisir d’intervenir là où je voulais. Je suçais mon pouce l’enduisais de salive, pour appuyait sur sa rondelle mouillée jusqu’à pouvoir la pénétrer, la première phalange entrée, je caressais en mouvements circulaires comme pour élargir cette cavité qui semblait faite pour recevoir…. Ma main gauche passait dans ses cheveux courts et me procurait une très sensuelle impression, mes doigts couraient sur son visage, sur ses lèvres épaisses et charnues qu’il entrouvrait pour sucer le bout de mes doigts…
En appui sur ses deux mains posées au bord du spa, Philippe était penché en avant et m’offrait son cul magnifique, ses jambes écartées, deux belles testicules pendaient à son braquemard, je me penchais pour les lécher, pour les gober ; de mes deux pouces je travaillais son trou par de petites pressions successives, Philippe commençait à se détendre de ce côté-là, sa longue queue un peu moins raide m’indiquait que son trou était prêt à m’accueillir. Je présentais donc ma teub gorgée de sang et tendue d’envie à l’entrée de son cul entrouvert. Je me glissais sans problème en lui, son trou s’élargissait à mon passage et se resserrait une fois en lui ; il maîtrisait ça à merveille le salaud, il se détendait et se resserrait à volonté au rythme de mes aller-retour dans son fion….un vrai expert !!!
Mes mains libres enserraient son buste, je les glissais vers ses abdos contractés, plus bas je chopais sa queue qui balançait sous mes coups de reins, je commençais à le masturber pour lui redonner du volume et de la raideur ; je sentais ma jouissance qui montait…Baisé avec vue sur mer, Philippe appréciait la situation, je le limais bien à fond, je sentais ses contractions autour de ma bite qui allait bientôt lui faire don de tout son nectar…il le sentait lui aussi , je gémissais de plus en plus fort et rapproché ; j’eus juste le temps de sortir ma queue de son fourreau, que déjà elle crachait de longs jets un sperme translucide , je me serrais contre son dos pour écraser ma bite entre nous, il remuait lui aussi latéralement, une vrai « salope » ce Phil….il savait y faire. Se retournant il me fit face et je m’assaillais au bord du spa prenant direct sa queue en bouche pour lui donner à son tour le plaisir qu’il attendait. Il pénétrait ma bouche par de grands coups profonds, je sursautais parfois, il tenait ma tête entre ses grandes mains avec douceur mais vigueur, son chibre immense m’emplissait, mes yeux laissaient couler quelques larmes entre deux hoquets, mais je pompais son calibre fortement, je sentais son plaisir monter, il penchait sa tête en arrière, je sortais sa longue queue de ma bouche que déjà il éjaculait sur mon cou, dans un râle retenu. Je finissais de le branler pour extraire jusqu’à la dernière goutte de ce joli gland rosé…Humm.
On glissait dans la piscine l’un et l’autre, nous laissant envelopper par l’eau chaude et douce, un régal. Nos visages exprimaient le bien-être….presque le bonheur !
a suivre..... ( si vous lui laissiez quelques commentaires ca serait sympa pour lui)